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15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 21:51

Source : Usine Nouvelle - 14/04/10

 

LDC va se séparer des activités de nutrition animale d'Arrivé, groupe vendéen repris par l'industriel sarthois à l'automne 2009. Un compromis de vente a été signé avec la Coopérative interdépartementale des aviculteurs du bocage (Ciab), basée à Saint-Fulgent (Vendée), dont les 320 éleveurs détenaient près de 30 % du capital d'Arrivé avant sa cession. « L'opération reste soumise à l'accord des autorités de la concurrence », précise André Delion, directeur financier de LDC. Le périmètre concerne trois sociétés : Arrivé nutrition animale et ADP à Saint-Fulgent ainsi que Arrivé Bellanné à Nueil-les-Aubiers (Deux-Sèvres), soit 198 salariés pour un chiffre d'affaires de 149 millions d'euros. LDC s'interroge, par ailleurs, sur le maintien ou non du pôle surgelé Marie dans son groupe. « Il s'agit pour nous d'un nouveau métier avec des process que nous ne connaissons pas et une organisation logistique différente, confie André Delion. Nous continuons à apprendre avant de prendre une décision qui n'interviendra de toute façon pas avant 2011. » Cette branche regroupe 700 salariés sur trois sites de production et a conclu son dernier exercice, déficitaire, sur un chiffre d'affaire de 149 millions d'euros.

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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 15:06
 
Source : Réussir le Paysan Tarnais - 21 janvier 2010 P. Le Douarin
Le leader LDC retrouve un niveau de profitabilité exceptionnel pour le secteur de la volaille. Avec les acquisitions de Marie et d’Arrivé, il vise les 2,5 milliards annuels de chiffre d’affaires.
 

Fin novembre, Denis Lambert ne boudait pas son plaisir à l’annonce de deux actualités positives : celle des résultats semestriels du groupe qu’il préside, et celle de l’acquisition effective du vendéen Arrivé, quelques semaines après celle de Marie. Les résultats du premier semestre de l’exercice 2009-2010 ont de quoi faire pâlir d’envie les autres volaillers français. « Le 27 mai 2009, nous avions annoncé un objectif de résultat opérationnel courant de l’ordre de 75 millions d’euros, a souligné Denis Lambert. Avec ce premier semestre à 38,9 millions d’euros et avec 4,2 % de marge opérationnelle, nous sommes engagés pour les 80 millions. »

REPRISE DE LA CONSOMMATION

Au premier semestre, le pôle « Volaille France » représente encore 79 % du chiffre d’affaires semestriel global (925 M!) et contribue à 87 % de la marge opérationnelle (38,9 M€). L’activité a été bonne, grâce à une reprise de la consommation de volailles, à laquelle s’est combinée une baisse des intrants.Avec ses innovations et sa marque Le Gaulois (200 M€ d’activité), LDC annonce une progression de 5 % en GMS, double de celle du marché.

DE L’ENTIER VERS L’ÉLABORÉ

Secoué depuis deux ans, en Espagne (site de Madrid fermé) comme en Pologne (incendie d’une usine), le pôle « Volaille international » se redresse, surtout en Pologne. Une nouvelle usine va encore y accentuer le basculement de la volaille entière vers l’élaboré. Avec 65,7 millions d’euros de chiffre d’affaires semestriel, ce pôle a généré 2,8 millions d’euros de résultat opérationnel. Pour ce semestre, avec 126 millions d’euros de chiffre d’affaires, le pôle « traiteur » n’a dégagé que 1,7 % de marge opérationnelle (2,1 M€), « faute d’une revalorisation tarifaire suffisante », selon le directeur financier André Delion. L’acquisition d’Entracte — n° 4 du sandwich — a pourtant permis de mettre les bouchées doubles avec une hausse de 82 % sur ce segment (24 % de l’activité traiteur, 1,25 million de pièces par semaine) alors que les autres produits sont en légère hausse (tartes et pizzas : + 2,3 %), stable (plats cuisinés), en recul faible (asiatique - 2,6 %) ou fort (crêpesgalettes - 23 %). Denis Lambert compte beaucoup sur le rachat de Marie, n° 3 du traiteur, pour donner une nouvelle dimension à un pôle cantonné aux marques distributeurs (87 % du CA). S’il réussissait à retrouver les volumes qui ont manqué et plombé les comptes de Marie, LDC peut prétendre à la place de n° 3 derrière Sodebo et Fleury Michon.

BONNES PERSPECTIVES 2010

Avec douze acquisitions en une année, LDC accélère sa stratégie. Le chiffre d’affaires prévisionnel 2009 de Marie est de 247 millions d’euros, celui d’Arrivé de 310 millions sur la partie acquise. Le groupe veut atteindre les 2,5 milliards de chiffre d’affaires sur l’exercice 2010- 2011 : 2 milliards en volailles et 500 millions en produits traiteurs, avec 50 % de ses produits sous forme labellisée ou élaborée. Cette année sera principalement consacrée à intégrer les outils et les équipes Arrivé et Marie dans le dispositif en réseau de LDC, à remonter la marge opérationnelle d’Arrivé à 3 % et à retrouver l’équilibre avec Marie.

INNOVATIONS ET PUBLICITÉ

Par ailleurs, les lancements d’innovations vont se poursuivre et les actions de communication grand public se renforcer. Le groupe devrait y consacrer plus de 21 millions d’euros sur cinq marques (Loué, Traditions d’Asie, Le Gaulois,Maître coq,Marie). Est-il en mesure de faire de nouvelles acquisitions ? Marie et Arrivé lui ont coûté 130 millions d’euros, ce qui a pompé la trésorerie disponible pour ce type d’opération, mais « nous disposons encore d’une autorisation de tirage de 60 millions d’euros », a reconnu André Delion. À la fin du premier semestre, le groupe avait réalisé 25,5 millions d’euros de résultat net, dégagé 53,5 millions d’euros de capacité d’autofinancement et détenait 502 millions d’euros de fonds propres. À condition de ne pas rénover ses propres outils, LDC peut « se payer un Arrivé » presque tous les ans.De quoi rassurer ses banquiers.

 

Les manchons bio "Maître coq". Une innovation conciliant souci de santé et praticité.

Les manchons bio "Maître coq". Une innovation conciliant souci de santé et praticité. - © D.R.

 

Positionnement stratégique

« Maître coq », la marque du poulet

L’acquisition des six sites de production (83000 tonnes commercialisées) du n° 4 de la volaille permet à LDC de « consolider » le marché français (comprendre : détenir 28 % du volume et plus de 30 % de sa valeur), d’acquérir un savoir-faire en surgelé, de détenir une marque forte (« Maître coq ») et de se positionner sur de nouveaux bassins de production (Sud Pays de la Loire, Auvergne) ; 40% de l’activité d’Arrivé est orientée sur les produits innovants (rôtis, farcis, coq’ailes…). Après analyse, LDC fera de « Maître coq » la marque spécialiste du poulet, tandis que « Loué » représente le poulet de la ferme, et « Le Gaulois » la volaille du quotidien et de la praticité.

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25 mars 2010 4 25 /03 /mars /2010 13:36
Installée au moulin des Noyers, la minoterie a fêté ses 100 ans l'an passé. Chez les Trottin, on est meunier de père en fils depuis cinq générations. Morgann, 24 ans, en est le plus jeune représentant. Il passe facilement du jean-tee-shirt au costume. Meunier diplômé, il est aussi commercial et peut faire une livraison au volant d'un poids lourd. Avec son CAP de boulangerie, il est également à l'aise dans un fournil. Son père et son oncle aussi. Mais eux avaient épousé des... filles de boulanger !

 


Le meunier d'aujourd'hui n'a plus guère le temps de dormir ! Les petits indépendants se font racheter par les gros groupes. On ne compte plus aujourd'hui en France que 450 moulins. Celui des Trottin se situe à la 75e place.


Il emploie 24 salariés et transforme chaque année 11 000 tonnes de blé en 8 500 tonnes de farine. Du blé venu des plaines de la Beauce et du grand ouest. La farine repart « exclusivement » chez les artisans boulangers. « Pour faire du bon, au départ, il faut du très bon », assure Georges Trottin, l'un des codirigeants, avec son frère Pierre.


Le moulin propose une quarantaine de références, dont les vedettes sont la « label rouge » et la « bio ». Et la baguette Sarthoise « pensée, créée et développée » par les frères Trottin. Environ 75 boulangers sarthois la proposent à leurs clients dans son emballage jaune. Lui aussi créé par les minotiers.


Le « comportement durable » qu'ils cherchent à adopter pour leurs approvisionnements et livraisons « au plus près » les fait réfléchir à remplacer cette enveloppe par un sachet réutilisable en lin. Autre projet : la création d'un fournil sur place. Leur boulanger-maison pourra ainsi donner libre cours à sa créativité !


Source : Ouest-France Sarthe - 25/03/2010

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20 mars 2010 6 20 /03 /mars /2010 10:46

La nouvelle est désormais officielle sur le site internet du conseil municipal de la commune de Ruaudin (www.ruaudin.fr/upload/telechargement/fichiers/COMPTE_RENDU_DU_CONSEIL_du_25_novembre.pdf), la charcuterie connérréenne Prunier, un des leaders français des rillettes, pâtés et mousses charcutières, a repris fin 2009 la petite charcuterie Gilet de Ruaudin. Mal en point financièrement mais bien installée dans le paysage sarthois de la charcuterie, notamment la région mancelle, Gilet possède une large gamme de charcuteries, typiques d'une charcuterie locale à échelle départementale. Au-delà des intervenants hexagonaux et des MDD, les concurrents directs de Gilet sont principalement les charcuteries Cosme, Boulvert, Ruel et Boussard.

Pour Prunier, les bénéfices de cette opération sont multiples : élargissement de la gamme à des références absentes de son catalogue (salaisons, plats cuisinés et charcuteries), accès à un savoir-faire transmis par de vrais charcutiers, accès au marché local avec une approche des clients directe, gain de capacités de production et rationalisation des coûts logistiques... Autant dire, beaucoup d'atouts mais aussi beaucoup de travail pour Christian Prunier et son équipe afin d'impulser à cette entreprise une nouvelle dynamique.

 

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15 mars 2010 1 15 /03 /mars /2010 09:40
Source : Ouest-France Edition Sarthe - 12/03/10 :


Bernard Yvon, artisan à Pruillé-le-Chétif, a diversifié son offre. En plus des pains au levain et au feu de bois, il s'est lancé, avec un employé, dans les pâtisseries.
Bernard Yvon, artisan à Pruillé-le-Chétif, a diversifié son offre. En plus des pains au levain et au feu de bois, il s'est lancé, avec un employé, dans les pâtisseries.

De plus en plus de producteurs sont en phase de conversion pour être certifiés biologiques. État des lieux en Sarthe, à l'heure du 5e salon du bio au Mans, dès aujourd'hui.

Par rapport à ses voisins, et notamment la Loire-Atlantique, la Sarthe est un peu à la traîne en terme d'agriculture biologique certifiée. Mais avec actuellement un peu plus de 2 % de terres cultivables exclusivement bio, le département est dans la moyenne nationale, et ce type d'exploitation se développe rapidement.


«
 Sur l'année 2009, le nombre d'hectares cultivés en bio a augmenté de 13 % », affirme Jonathan Bosteau, porte-parole du Gab 72 (Groupement des agriculteurs biologiques). « Il y a environ 130 producteurs bio en tout en Sarthe, pour plus de 10 000 ha de terres cultivées », estime Philippe Leroux, président du Gab 72. Ce syndicat en fédère entre 50 et 60 dans le département, tous labellisés ou en voie de l'être.


Le bon plan du bio


Beaucoup sont dans une phase de reconversion de l'agriculture classique vers une démarche qui respecte les impératifs du bio : pas de pesticide, d'OGM ni d'engrais chimique de synthèse. « C'est aussi une façon militante de s'engager dans cette cause pour le producteur » ajoute Jonathan Bosteau. Les producteurs sont de plus en plus nombreux car la demande d'aliments « plus sains » se propage, dans le grand public comme dans les institutions (restauration collective). « Il existe dans le monde agricole une crise qu'il n'y a pas dans le bio » résume Philippe Leroux. « Si la demande augmente, c'est parce que les consommateurs ont pris conscience que c'est bon pour la santé et l'environnement », poursuit Philippe Leroux. Les agriculteurs restent attachés aux produits de base : les céréales, les oeufs, le lait... Mais ils sont donc appelés à se diversifier pour satisfaire la demande.

Ainsi, Bernard Yvon, artisan du pain à Pruillé-le-Chétif, produit chaque semaine des dizaines de chaussons aux pommes et autres pâtisseries et viennoiseries certifiées bio. D'autres producteurs de lait à Cherreau ont choisi de faire une gamme de glaces.


«
 Il y a quelques jours encore, deux grandes surfaces locales nous demandaient de faire des animations pour valoriser les produits bio » explique Philippe Leroux. Les commerces veulent également favoriser les produits locaux, ce qui est souvent de bonne augure pour les producteurs bio.

Charlotte REBET.

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11 mars 2010 4 11 /03 /mars /2010 15:44

Source : www.leboursier.com - 24/02/10

La CAFEL, Coopérative Agricole des Fermiers de Loué, société liée à Alain Allinant, a encore racheté 25.000 actions LDC (LOUP.NX - actualité) le 16 février pour un montant proche de 1,9 Million d'Euros.

Alain Allinant est le représentant permanent de la CAFEL au Conseil de Surveillance de LDC.

Depuis le mois de juillet 2009, environ 325.000 actions LDC (4% du capital) ont été rachetées par la CAFEL pour un investissement proche de 24,2 ME.

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28 février 2010 7 28 /02 /février /2010 21:15
 
Christian Prunier, PDG de l'entreprise Prunier.
Christian Prunier, PDG de l'entreprise Prunier.

Christian Prunier, PDG de la maison Prunier, installée à Connerré, insiste sur le besoin d'harmonie dans l'entreprise.


« Pour satisfaire les clients, j'ai besoin de conditions de travail harmonieuses. Le milieu agro-alimentaire est déjà difficile : il ne faut pas se serrer la main, les salariés portent des masques, travaillent dans un milieu froid. Malgré tout ça, il faut entretenir de bonnes relations. Dans les années 90, quand le métier s'est axé sur la sécurité, on a constaté davantage de stress chez le personnel. Lorsqu'il y a du stress, les résultats sont moins bons.

Depuis vingt ans, j'instaure des stages de communication. Des salariés ont envie d'évoluer. Pour les personnes qui deviennent chefs, je mets en place des stages de coaching. Savoir gérer les autres, c'est savoir gérer ses émotions. Je privilégie la formation des encadrants. Tout simplement parce qu'on n'est pas formé à ça à l'école ! C'est fondamental d'être formé. L'autorité, c'est quelque chose qu'on donne au chef... La promotion interne participe aussi à la bonne ambiance.

Chaque nouveau collaborateur suit une formation de 2 jours, créée par le psychosociologue Jacques Salomé, où certaines règles d'hygiène relationnelle sont enseignées : dire « je » et pas « on », une manière d'être responsable. Il n'y a pas que les mots qui sont importants, l'écoute, l'empathie le sont aussi. Mon père appliquait un management paternaliste. Pas moi. Si une personne n'est pas complètement compétente, il ne me paraît pas normal de la laisser à ce poste. Moi je suis pour mettre les bonnes personnes aux bons postes.

J'organise une réunion générale une fois par an et des réunions d'informations quand des décisions, de nouvelles stratégies concernent le personnel. Il est important que les patrons se responsabilisent sur la qualité des relations. Pour la maison Prunier, il s'agit d'une transmission du savoir, les ouvriers le sont pour beaucoup de père en fils. Dans les rillettes, il y a une tradition de convivialité. Ca se partage ! »

Maison Prunier : rillettes du Mans à base de porc fermier Label rouge ; 130 collaborateurs ; chiffre d'affaires  : 25 M€.

Source : Ouest-France - 30/11/2009
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28 février 2010 7 28 /02 /février /2010 21:09
André Toutain, 59 ans, producteur de porcs fermiers de la Sarthe à Yvré-l'Évêque, fait régulièrement la promotion de son label dans les magasins pour récréer de la proximité entre consommateurs urbains et producteurs ruraux.
André Toutain, 59 ans, producteur de porcs fermiers de la Sarthe à Yvré-l'Évêque, fait régulièrement la promotion de son label dans les magasins pour récréer de la proximité entre consommateurs urbains et producteurs ruraux.

L'éleveur de porc labellisé, filière qui s'en sort plutôt mieux que d'autres secteurs agricoles, vante son produit via des animations en magasin. Il sera demain au salon de l'agriculture.

Les poulets l'ont fait. Les cochons s'y mettent.

 

Après les volailles de Loué rodées à l'exercice depuis longtemps, ce sont les producteurs du label rouge des porcs fermiers de la Sarthe qui s'invitent dans les supermarchés et devant l'étal des bouchers-charcutiers. Objectif : draguer le consommateur en allant à sa rencontre. En lui parlant pour lui faire connaître les qualités gustatives d'un cochon végétarien au look assez classique et aux conditions d'élevage relevant d'un cahier des charges très strictes.

« Depuis deux ans, les notions de nutrition et de santé sont de plus en plus importantes pour le public désormais attentif au bien-être de l'animal et à la façon dont il a été élevé », constate Alain Cabannes, directeur de ce label qui vend chaque semaine 850 porcs issus d'une quarantaine d'exploitations installées principalement dans le sud-ouest du département.

La qualité de cette viande étiquetée « Le cénomans », vendue autour de 10 à 11 € le kilo, n'est néanmoins pas suffisante pour doper les ventes d'un secteur, labels et AOC en général, qui tire plutôt mieux son épingle du jeu que d'autres filières agricoles.

« Chez le boucher de quartier, la part de marché du label augmente même de 8 à 10 % », avance Alain Cabannes. Mais la concurrence est telle qu'il faut faire la différence.

Avec une dizaine d'éleveurs du label, le porc fermier de la Sarthe est donc parti à l'assaut des consommateurs.

Large sourire qu'une épaisse moustache poivre et sel ne parvient pas à dissimuler, André Toutain, 59 ans, est l'un des premiers producteurs à avoir pris le train des animations lancées par sa filière. Depuis un peu plus d'un an, l'éleveur d'Yvré-l'Évêque a participé à une dizaine d'opérations chez des clients de son label : magasin, boucher, charcutier... Parfois jusqu'à 1 000 kilomètres de chez lui.

« Je suis fier de mon produit. Et quand quelque chose vous plaît, ça plaît aussi à la personne à qui on en parle, assure-t-il. On n'est pas des éleveurs virtuels. Les gens peuvent mettre un visage sur le producteur. Ils sont sensibles à notre démarche ; j'ai été surpris de la réaction de jeunes couples très à l'écoute. Tant mieux, car ce seront encore des consommateurs pendant 40 ans. »

Aujourd'hui, c'est vers Paris qu'André Toutain a les yeux tournés. Pendant trois jours, c'est au public du salon de l'agriculture qu'il va confier sa passion pour ses cochons.

 

 

 

Igor BONNET.
Source Ouest-France - 24/02/10
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18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 21:17
Le groupe Cosnelle acquiert Valansot


Après avoir repris Arcal en 2008, Cosnelle, spécialiste de la charcuterie réalisant 52 millions d’euros de chiffre d’affaires, vient de reprendre Valansot à Turhins (69). Cette PME produisant de la charcuterie a attiré Cosnelle notamment grâce à son ancrage régional. Après une bonne année 2009, lors de laquelle Cosnelle a vu son chiffre d’affaires progresser de 8 %, le groupe acquiert donc un nouveau site industriel qui va s’ajouter aux quatre autres. Par ailleurs, Cosnelle prévoit d’investir en 2010 sept millions d’euros dans son usine Prestige de la Sarthe à La Ferté-Bernard.

 

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12 février 2010 5 12 /02 /février /2010 11:13

Le verdict du concours 2010 de la meilleure rillette est tombé. Dans la catégorie des salaisonniers, le jury de Mamers a attribué la médaille d'or à la charcuterie Ruel de Bonnétable. Un prix amplement mérité quand on sait le niveau de qualité proposé par cette PME sarthoise, faisant de sa rillette l'une des meilleures sur le marché.

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