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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 18:52

Source : L'Usine Nouvelle - Le 03 mars 2011 par Emmanuel Guimard (Pays de la Loire)

Investissement. Les sociétés Sacofel et Sovopa investissent 8 millions d'euros à La Bazoge (Sarthe) dans un site de 9 000 m² destiné au conditionnement des œufs de Loué et Le Gaulois.
 

La première partie sera livrée en juin et la seconde en septembre. Le site traitera au total 8,5 millions d'œufs par semaine, dont 4,2 millions de la Sacofel, conditionnant les œufs bio et label de la marque « œufs de Loué », mais aussi ceux de Sovopa (LDC), qui traite jusqu'à présent à Aigné (Sarthe) la production d'œufs de la marque Le Gaulois.

 

Sacofel est détenue à 66 % par LDC et à 34 % par la Coopérative agricole des fermiers de Loué (Cafel). Cet investissement intègre un centre de préparation de commandes et de logistique.

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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 20:46

Source : Usine Nouvelle. Le 08 février 2011

 

Reprise. La société Mix Buffet (125 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel) est spécialisée dans les salades composées vendues fraîches dans la grande distribution.

Elle est basée à Guer (Morbihan) et vient de signer un protocole d'accord pour le rachat de l'usine DLB Traiteur.

Installée à Pleumeleuc en Ille-et-Vilaine, cette entreprise de 8 millions d'euros de chiffre d'affaires pour 50 salariés fabrique des recettes composées à base de pâte feuilletée (bouchées à la reine, tartes...).

Jusqu'à présent, cette entreprise appartenait au groupe sarthois Bahier. La vente effective de DLB Traiteur devrait être conclue d'ici au 28 février prochain.

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21 janvier 2011 5 21 /01 /janvier /2011 21:02

Source : Ouest-France Sarthe 17/01/2011

 

Directeur de l'usine sabolienne, Bruno Casimir se dit satisfait des résultats de l'année écoulée et espère encore une montée en puissance en 2011.

 

Un seuil historique

40014 tonnes de production, exactement. En 2010, le fromager a franchi "un seuil historique", selon Bruno Casimir. "Ces résultats s'expliquent par une bonne tenue de l'ensemble de nos produits, qu'il s'agisse des gammes Kiri, Mini-Babybel, Boursin, etc., aussi bien en France qu'en Europe de l'Ouest ou dans des pays plus lointains."

 

Maintien du secteur de l'agroalimentaire

Comme beaucoup d'autres sociétés de l'industrie agroalimentaire, Bel n'a pas trop souffert de la crise, " même si les clients ont parfois réajusté leurs achats. Le fait de disposer de différentes marques et de différents circuits de production nous permet de mieux réguler notre activité."

Les effectifs sont restés stables avec environ 700 salariés permanents et entre 80 et 100 personnes en CDD ou en intérim.

 

Un retour sur investissement

Les investissements de près de 20 millions d'euros, réalisés entre 2007 et 2008, afin d'accroître l'automatisation et la robotisation semblent également porter leurs fruits : " Après une période de découverte et de mise au point des machines, les salariés sont en mesure de les utiliser de façon optimale".

 

Renforcer les exportations

Cette année, Bel espère encore accroître ses volumes à l'exportation et renforcer son implantation dans les pays d'Amérique du Nord et du Sud-Est asiatique, en tenant compte des spécificités locales.

Les productions de ces contrées éloignées ne partagent pas toujours les goûts des Français : "Elles aiment les produits tels que le Kiri, le Cantadou mais n'adhèrent pas trop au Port-Salut par exemple".

 

Diminuer les accidents du travail

Selon Bruno Casimir, l'entreprise enregistre une baisse significative des accidents du travail, en passant d'une moyenne de 30 à 7 par an. " Même si l'objectif de zéro accident reste difficilement atteignable, des efforts continueront à être réalisés dans ce sens. "

 

Apaiser les relations avec les producteurs de lait

En 2010, pendant la crise du lait, les producteurs se sont rappelés au bon souvenir de Bel en venant manifester à ses portes plus d'une fois. "Depuis l'accord sur le prix du lait conclu au mois de septembre, les choses se sont apaisées. J'espère que cela va durer. "

 

Nouria MOOLNA.

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19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 19:30

Source : Ouest-France Edition Sablé - 11/12/2010

 

Un peu plus d'un an après le rachat des usines du groupe Marie par LDC, le site sabolien continue sa mutation pour s'adapter au nouveau contexte.

 

151 salariés

Ils sont 151 à travailler au niveau de la production, de la maintenance, dans les services de qualité, les ressources humaines, la recherche et le développement. "Notre usine n'a pas été concernée par le plan de sauvegarde de l'emploi du mois d'avril dernier qui a entraîné la suppression de 99 postes chez Marie", explique Nicolas EYMEOUD, directeur du site sabolien.

 

15 nouveaux postes à Sablé

C'est une des conséquences de l'intégration au sein du groupe LDC. Dès ce lundi, un service de comptabilité va s'installer dans les locaux de la zone d'activité de l'Aubrée. "Il comptera neuf personnes qui s'occuperont du site Marie de Briec, près de Quimper, de Viriat, près de Bourg-en-Bresse, et du nôtre".

Au mois de mars, ce sera au tour des six personnes de la cellule Recherche et innovation de prendre leurs fonctions dans ces mêmes locaux. "Elles vont travailler pour l'ensemble du pôle traiteur du groupe LDC. Alors que le service de recherche et développement s'occupe plutôt de la mise au point des recettes, la mission de cette cellule sera d'utiliser toutes les technologies possibles afin d'aller largement au-delà de ce qui se fait aujourd'hui dans notre secteur." Ces quinze postes ont été principalement pourvus en interne.

En début d'année prochaine, l'usine va également changer d'outil informatique pour passer sur le système LDC.

 

Une nouvelle gamme de produits marie-photo-blog179.jpg

Marie a emboîté le pas à d'autres marques et s'est lancée à son tour dans la conception de plats chauds en boîte, les "box". 18 recettes ont été élaborées. Boulettes de viandes, colin, mini-knacks...

Sur le site de Sablé, la fabrication a commencé en octobre dernier. "Nous nous adaptons aux nouvelles tendances de la consommation, indique Nicolas EYMEOUD. Ce nouveau marché représente actuellement 10 à 15% des 9500 tonnes de produits que nous avons fabriquées cette année. Ce volume total a, de son côté, augmenté de 6,7% par rapport à l'année dernière".

 

Nouria MOOLNA

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19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 19:26

Source : L'Usine Nouvelle - 06 septembre 2010

 

Forking SAS

Investissement

 

Sarthe-Expansion, l’agence de développement économique de la Sarthe a proposé il y a déjà quelques mois, la construction d’un bâtiment en blanc (sans locataire initialement prévu) dédié aux projets agroalimentaires et adaptable sous six mois, afin de pallier aux manques d’infrastructures de ce type sur son territoire.

 

Cet été, le Parc d’Activités d’Arçonnay a réceptionné ce premier bâtiment sarthois et a trouvé locataire auprès de la Société Forking SAS, une entreprise spécialisée dans la conception, la fabrication, le conditionnement et la commercialisation de plats cuisinés frais. La société, qui démarrera son activité en février 2011, a signé un bail de location de 3 ans, avec acquisition la quatrième année.

 

Le secteur de l’agroalimentaire requérant des bâtiments aux normes spécifiques, la maîtrise d’œuvre obtenue par AD Ingénierie, a dû respecter un certain nombre de contraintes, dont le principe de l’option froid.

La construction sur une parcelle de 10 000 m² se réalise en deux temps : la structure, les bureaux et les locaux sociaux ont d’abord été livrés. Puis, l’aménagement consacré à l’activité, qui se fait selon le cahier des charges du locataire, en l’occurrence Forking SAS, est mis en œuvre.

Au total, le bâtiment de 1 575 m² prévoit 1 250m² d’ateliers 245 m² de bureaux et locaux sociaux ainsi que 80 m² de locaux techniques.

 

Forking SAS souhaite atteindre un effectif de 35 personnes au bout de sa troisième année d’exercice. A l’heure actuelle, un directeur de site et un directeur qualité vont être recrutés, suivis d’une dizaine de salariés la première année (administratifs, cuisiniers, préparateurs).

Les produits fabriqués dans le département sarthois sont destinés à des enseignes comme Carrefour City, Lafayette Gourmet et Monoprix, avant de se tourner vers les marchés extérieurs, notamment britannique.


Amandine Ascensio

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19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 19:12
Source : Ouest France 09/09/2010
 

Une nouvelle société agro-alimentaire s'implante à Arçonnay. Forking SAS confectionne des plats cuisinés à ne manger qu'à la fourchette. En vue de perdre du poids.

Très tendance, les régimes sont désormais pris en compte dans les plats cuisinés. Ici, pas de menu super protéiné, ni de nombre de calories à surveiller de près, mais des légumes, des féculents ou du poisson préparés en barquette. Seule la fourchette est autorisée dans ce régime imaginé par Ivan Gavriloff, polytechnicien et président d'une société de conseil en innovation.

 

L'auteur de Dîne avec une fourchette, interdit couteau et cuiller, viande ou soupe en raison des sels et de l'eau fixateurs de cellulite. Les oeufs sont aussi bannis en raison du cholestérol qu'ils fabriquent. Sans parler des matières grasses. Bref, ce régime qui se présente sous la forme d'une barquette de 300 g, pourrait permettre de perdre un kilo par semaine. Il a été validé par une nutritionniste.

 

Un bâtiment de 1 600 m2

 

Ivan Gavriloff a imaginé le concept. Il s'est associé à Eric de Simone, professionnel de l'agro-alimentaire (il a travaillé pour Traiteur de Paris, fabricant de plats surgelés), qui s'est chargé de la mise en oeuvre. Pour la cuisine, les co-fondateurs de l'entreprise ont fait appel au fils du médiatique cuisinier Michel Oliver, Bruno Oliver. Le père avait d'ailleurs collaboré chez Marie à Sablé-sur-Sarthe.

 

La société Forking SAS (fork en anglais signifie fourchette) s'implante dans le parc d'activités d'Arçonnay où le syndicat mixte a construit un bâtiment de 1 600 m2 dédié à l'agro-alimentaire. Un coût global de deux millions d'euros. Contre un loyer « non encore fixé », la société lancera sa chaîne de production en mars, après avoir recruté une dizaine de personnes. L'objectif étant de créer une trentaine d'emplois avant fin 2013.

 

En terme de production, la société compte passer de 2 000 barquettes par jour la première année à 10 000 quotidiennement la troisième année. Les consommateurs auront-ils droit à un dessert ? Non, répond Ivan Gavriloff, sauf des fraises et des framboises. Et de recommander une tisane en guise de dessert. Quant à l'addition, la barquette mise en vente dans des supermarchés, coûterait entre 5 et 6 €.

 

Florence LAMBERT.
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19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 19:02

Auguste DODARD nous a quitté au cours de ce mois de décembre 2010 à l'âge de 92 ans. Il était le "D" de la société LDC Sablé (Lambert Dodard Chancereul). Sous l'impulsion de Gérard CHANCEREUL, son adjoint, Auguste DODARD fut l'un des fondateurs de la société LDC et permit à sa société éponyme, implantée à St Martin de Villenglose (St Denis d'Anjou - 53) de fusionner en 1969 avec le volailler Lambert de Sablé s/Sarthe. Peu de temps après la création de LDC en 1970, Mr DODARD avait fait le choix de quitter la nouvelle unité et de vendre ses parts.

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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 17:53

D'après blogagroalimentaire.com - 18/11/2010

 

"La vente des parts de Yoplait de PAI Partners devrait démarrer dans deux semaines et de nombreux prétendants sont annoncés. Lactalis a déposé une offre pour racheter la totalité des parts de Yoplait pour la somme de 1,3 milliards d’euros. Le groupe lavallois pourrait devenir un des acteurs majeurs dans le monde des produits laitiers dans le monde si cette acquisition était validée. Parmi les prétendants annoncés en plus de Lactalis : Nestlé et General Mills, distributeurs de certains produits Yoplait dans le monde. Mais Unilever, Kraft Foods, Coca-Cola et des fonds d’investissement seraient sur les rangs.

 

A noter, la proposition de Lactalis pour le rachat de Yoplait vient d’être refusée. « La structure proposée par Lactalis ne répond pas à la volonté de Sodiaal de demeurer un actionnaire stable et pérenne de Yoplait », ont expliqué Sodiaal et PAI Partners, qui se partagent à parité le capital du fabricant de yaourts. « le prix proposé par Lactalis ne reflète ni la valeur intrinsèque et stratégique de Yoplait, ni ses perspectives de croissance ». Cependant, Lactalis ne compte pas s’arrêter à cette décision et entrer dans une phase de négociations. Affaire à suivre…"

 

Commentaire de Sarthe & Agroalimentaire :

La vente des parts de PAI Partners dans Yoplait était annoncée depuis longtemps. Associé à Sodiaal, ce fond d'investissement français a bien redressé la barre de ce fleuron de l'industrie coopérative laitière , numéro 2 mondial du yaourt, présent notamment en Sarthe. Concrètement, cette vente ne devrait fondamentalement pas changer la donne en ce qui concerne l'usine du Mans. Reste à savoir qui des nombreux prétendants aura la faveur de PAI Partners. Des nombreux noms cités dans la presse, on peut s'étonner de l'absence du groupe Danone. Le mastondonte lavallois Lactalis (ex-Besnier) , échaudé par l'échec de la reprise d'Entremont aura t'il le dernier mot ? Celui-ci semble déterminé à s'offrir cette marque à forte notoriété et caractérisée par des produits leaders bien valorisés ( îles flottantes, mousses, yourts à l'ancienne en pots grès, yaourts à boire Yop, Perle de lait, Paniers aux fruits, yaourts sucrés, etc...). Après les différents mouvements de concentration observés depuis 2 ans dans les produits laitiers (Eurial Poitouraine/Glac ; Orlait/Candia/Coralis ; Celia/Lactalis ; Bel/Unilever-Boursin ; Unicopa-Entremont/Sodiaal, Laïta/Terrena/Coopagri Bretagne...), cette vente partielle ou non de Yoplait constitue un énorme évènement dans le landerneau du lait.

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7 septembre 2010 2 07 /09 /septembre /2010 19:08
Source : Ouest-France 06/09/2010

 

Forking SAS ouvre sa ligne de production de plats cuisinés en mars prochain, dans le parc d’activité interdépartemental d’Arçonnay. Il s’agit de barquettes particulières, composées uniquement de légumes, féculents et de poisson, aliments qu’on peut manger avec une fourchette. Viandes, soupes et œufs sont bannis du menu qui, selon l’un des co-fondateurs, Ivan Gavriloff, permettrait de perdre un kilo par semaine. « Tout ce que vous mangez dans la journée, vous pouvez le brûler. Le soir, avant de se coucher, c’est plus difficile. »

 

La société Forking SAS (fork en anglais signifie fourchette) s’implante dans le parc d’activités d’Arçonnay où le syndicat mixte a construit un bâtiment de 1 600 m2 dédié à l’agro-alimentaire. Un coût global de 2 millions d’euros. Contre un loyer « non encore fixé », la société lancera sa chaîne de production en mars, après avoir recruté une dizaine de personnes. L’objectif étant de créer une trentaine d’emplois avant fin 2013.

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20 août 2010 5 20 /08 /août /2010 23:13

Source : Investir. 20/08/2010

 

L'annonce faite jeudi soir par LDC SA ressemble fort à un avertissement implicite sur les résultats du groupe volailler et traiteur, pris en tenaille entre le renchérissement des céréales et des distributeurs soucieux de ne pas augmenter leurs prix.

 

LDC a confirmé tabler sur un résultat opérationnel courant de 70 millions d'euros en 2010-2011 pour sa principale division; le pôle volailles France, contre 79,6 millions d'euros lors de l'exercice précédent. Mais le groupe, connu notamment pour les marques Loué et Le Gaulois, a conditionné la réalisation de cet objectif à une augmentation rapide de ses prix de vente. Or une telle condition sera difficile à remplir.

Alors que le prix du blé, principal élément de l'alimentation des volailles, a bondi de plus de 65% depuis le mois de juin, affecté par la sécheresse en Russie, les intempéries en Inde et au Pakistan, ou encore la baisse des rendements en France, LDC estime que cela se traduira par une hausse de 12,3% du prix de revient des volailles vivantes.

 

Aussi, le groupe espère pouvoir passer des hausses de prix d'environ 10%, en plusieurs étapes. Mais les négociations se font actuellement dans un contexte très tendu avec les distributeurs, qui maintiennent une forte pression sur leurs prix d'achat. Preuve de ces tensions, LDC reconnaît lui-même que dans son activité traiteur, il doit consentir des conditions tarifaires plus basses que prévues.

 

Il est donc fort probable que le groupe ne réussira pas à répercuter complètement la hausse de ses prix de revient, ou que cette répercussion se fera de façon trop tardive pour éviter un impact sur la rentabilité du groupe.

Rappelons qu'en 2007, l'envolée des matières premières avait eu, malgré les hausses de prix obtenues, un impact négatif d'environ 10 millions d'euros sur le résultat opéationnel du groupe.

 

LDC pourrait par ailleurs avoir à gérer un effet boomerang de ces hausses de tarifs. Elles risquent en effet de provoquer un recul des volumes de vente du groupe, dans une conjoncture où les consommateurs sont particulièrement sensibles au prix dans leurs décisions d'achat.

 

Autre élément qui contribue à brouiller la visibilité sur le groupe: LDC a reconnu que la société de plats cuisinés Marie, acquise au cours de l'exercice précédent, n'atteindrait finalement pas l'équilibre en 2010-11, en raison de la pression sur les prix de vente mais également du fait d'un décalage dans le temps des économies de coûts programmées.

 

Certes, la hausse récente des prix du blé comporte une bonne partie de spéculation, et, contrairement à la crise de 2007, les stocks mondiaux sont assez conséquents, ce qui pourrait plaider pour une détente d'ici quelque temps.

 

De plus, LDC a beau jeu de rappeler que lors des crises précédentes - grippe aviaire, en 2005, puis hausse des cours des matières premières, en 2007 - il avait su s'adapter et réagir rapidement.

Mais, les performances passées ne préjugeant pas des performances futures, le titre devrait rester sous pression tant que LDC n'aura pas rassuré au sujet de l'ampleur des hausses tarifaires obtenues et démontré sa capacité à préserver ses volumes de vente.

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