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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 18:24
Source Ouest- France : samedi 22 décembre 2012

 

 

Placée en redressement judiciaire depuis mi-octobre, la société mancelle située boulevard Lefaucheux, a dû se résigner à cesser son activité. Fin novembre, Thierry Métivier expliquait que la hausse « importante des matières premières » avait nui à l'entreprise, « on a eu du mal à la répercuter sur les prix de nos clients ». La société employait dix salariés.

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22 novembre 2012 4 22 /11 /novembre /2012 21:09

Source : Le Quotidien Les Marchés - 22/11/2012

La fabrique de rillettes sarthoise Boussard, qui compte une vingtaine d’employés, a été citée hier par Robert Volut, président de la FICT, parmi les quatre entreprises charcutières ayant déposé le bilan depuis septembre. Le président de la fédération des industriels charcutiers (FICT) a aussi cité la charcuterie alsacienne Iller, qui emploie 250 permanents et le site de Geo Madrange à Ablis (Yvelines), employant 155 personnes, « en sursis ».

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 08:11

Source : Ouest-France - 20/11/2012

 

Augmentation du prix des matières premières, négociations avec la grande distribution... Les industriels en ont parlé hier aux élus et services de l'État.
Marietta Karamanli, Christian Prunier, PDG de la société éponyme et Roger Volut, président de la fédération des industriels charcutiers.

 

La rencontre a eu lieu chez Prunier, à Connerré (Sarthe). Roger Volut, président de la fédération Fict (Fédération des industriels charcutiers, traiteurs, transformateurs de viandes) est venu sensibiliser les élus et les services de l'État à la crise que traverse la filière depuis un an.

 

La consommation se porte bien, mais les coûts industriels explosent

 

L'augmentation du prix du porc, des volailles, etc. pèse dans les coûts industriels. Des hausses de prix impossibles à répercuter sur les prix de vente à la grande et moyenne distribution, a dénoncé Roger Volut auprès de Marietta Karamanli, députée et de Pascal Lelarge, préfet. Ce qu'il a résumé par « le déséquilibre des négociations avec les distributeurs ».

Paradoxalement, la consommation de la charcuterie se porte plutôt bien. « Nous ne sommes pas dans une crise de volume comme l'industrie automobile et pourtant, on perd de l'argent. On marche sur la tête ! » La fédération a estimé que chaque jour, à cause de la réduction de marge imposée par la grande distribution, l'industrie charcutière perdait 50 centimes du kilo. « Il faudrait que nous augmentions de 5 à 15 % le prix de vente de nos produits à la grande distribution, évalue Robert Volut. En rappelant que 700 emplois ont disparu du secteur l'an dernier (1).

En Sarthe, la charcuterie Boussard, placée en redressement judiciaire depuis mi-octobre, reste optimiste. La société mancelle emploie dix salariés et « suite à la hausse importante des matières premières, on a eu du mal à la répercuter sur les prix de nos clients, relate Thierry Métivier, le patron. On a encore un mois pour présenter les comptes ».

 

Table ronde au ministère de l'Agriculture mercredi

La fédération demande que soit appliquée la Loi de modernisation de l'économie et que « cessent les pratiques commerciales abusives ». Et réclame, dans les contrats producteurs-distributeurs négociés annuellement, une « clause de sauvegarde permettant la révision des prix de vente en cas de variations importantes des prix d'achat des matières premières ». Une table ronde est prévue mercredi à Nantes avec le ministre de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire, Stéphane Le Foll. La fédération espère bien un accord avant la fin de l'année.

(1) La fédération représente 300 entreprises, soit 35 000 salariés dont 1 050 en Sarthe. Dans le département, par an, 36 000 tonnes de charcuteries sont produites, dont 16 500 tonnes de rillettes !

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19 novembre 2012 1 19 /11 /novembre /2012 18:42
Source : Ouest-France - 19/11/2012
Dans les cuisines de Gourmet consultants, Johann Hertault et Christophe Daguenet travaillent sur des produits qui devraient être sur le marché au printemps, voire cet été.
Dans les cuisines de Gourmet consultants, Johann Hertault et Christophe Daguenet travaillent sur des produits qui devraient être sur le marché au printemps, voire cet été.
La société mancelle emploie des chefs de cuisine pour accompagner des projets agro-alimentaires. Et parcourt des capitales en quête des tendances culinaires.
Trois chefs de cuisine, un chef pâtissier qui ont exercé dans des « grandes maisons » parisiennes mettent leur savoir-faire, leur expérience et leurs compétences au service de Gourmet consultants.

La société mancelle, fondée en 1998 par Olivier Pichot, lui-même ancien chef de cuisine, conseille et accompagne les professionnels de l'agro-alimentaire. Bahier veut des rillettes de volaille nutritives, Gourmet consultants lui propose des « rillades » intégrant des légumes, à tartiner, pour des verrines ou à « dipper » (du verbe anglais signifiant plonger). Des prototypes, des dégustations ont été réalisées jusqu'à satisfaire le client qui, la recette en poche, a mis sur le marché ses rillades aux légumes.

Gourmet consultants qui emploie une petite dizaine de personnes (1), travaille pour des grands groupes agro-alimentaires, mais aussi pour la distribution comme le groupe Casino pour ses concepts de restauration. Organisme de formation agréé pour les chefs des hôtels-restaurants Campanile, photographe culinaire pour Carte d'or ou Relais d'or Miko, Gourmet consultants s'est aussi lancé dans le référencement en janvier. La société négocie les meilleurs prix de marchandises pour ses clients hôteliers et restaurateurs.

« Safaris culinaires »

L'entreprise mancelle a une autre corde à son arc : dénicher les tendances culinaires pour ses clients ou pour ses propres besoins. « Si on veut être force de proposition en terme de créativité, explique Émilie Beauger, responsable marketing et communication, il nous faut observer ce qui se fait en France et à l'étranger. »

Londres reste une bonne plateforme d'observation, avec son ouverture ethnique, son sens de l'innovation sans tabou. « On organise des « safaris culinaires ». Deux ou trois jours à Londres, Barcelone, Tokyo et la prochaine fois, en Scandinavie avec sac à dos, appareils photo et estomac bien accroché pour goûter à plein de choses sur des thématiques variées : la vente à emporter, les grandes surfaces, le restaurant traditionnel ou encore le « street food » (manger dans la rue, NDLR).

Pour le groupe Casino, un des « safaris » a été organisé à Rome, le client souhaitant en savoir plus sur la restauration italienne. Pour Monoprix, Gourmet consultants a rapporté l'idée londonienne d'un bar à jus (de fruits auxquels on ajoute ou pas yaourts, graines de céréales, miel...). L'enseigne urbaine en a installé un depuis aux Halles, à Paris.

De ses courts voyages, Gourmet consultants « sent » des manières de faire comme l'importance « des produits de qualité dans la street food, le retour à la cuisine bistrot, l'utilisation de produits locaux ». « Tout ce qui est sucré est actuellement détourné pour du salé, comme la crème brûlée au foie gras ou les éclairs au wasabi (pâte verte japonaise) avec filet de saumon. ».

 

(1) L'entreprise est située rue Edgar-Brandt, dans la zone de Monthéard, au Mans.

Florence LAMBERT
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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 17:34
Source : Ouest-France - 16/11/2012

L’extension du centre de conditionnement des œufs de LDC-Loué sera inaugurée ce samedi matin, à La Bazoge. LDC et Les Fermiers de Loué se sont mariés devant l’autel de la logistique en créant une plateforme d’expédition commune de leurs œufs, à La Bazoge. Depuis janvier 2012, la Sovopa (LDC) et la Sacofel (Fermiers de Loué) travaillent main dans la main pour envoyer leurs œufs partout en France, sous les marques Le Gaulois, Loué et les marques distributeurs.

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 10:10
Source : Ouest-France - 11/11/2012
 
C'est un coup de massue qui s'est abattu sur cette petite ville de la Sarthe. 186 personnes vont perdre leur travail. Les salariés sont sous le choc, les élus se mobilisent.
L'usine Candia.
Archives Ouest-France.
Vendredi midi, à la laiterie Candia, sur une rive du Loir, au Lude (Sarthe)... Les salariés sortent les yeux rougis, de la colère dans la voix. Ils viennent de rencontrer le directeur de Candia, Maxime Vandoni. Sans comprendre davantage pourquoi leur site va fermer, au plus tard en juin 2014, après ceux de Villefranche (Ain) et Saint-Yorre (Allier) en 2013. En tout, 308 emplois en CDI et 50 emplois précaires sont concernés, dont 186 au Lude.

Fermer trois sites pour densifier les autres (1), c'est une question de « pérennité et de survie », martèle Bernard Auffray, directeur du site ludois qui « n'a pas assez de volume pour être agrandi. Son potentiel de développement est limité. Il assure exclusivement l'emballage en briques alors que le format bouteille se développe ».

10 % de la population active

La mort dans l'âme, les salariés ont débrayé toute la journée de vendredi, bloquant la collecte du lait. L'offre de reclassement au sein du groupe Sodiaal laisse la plupart dubitatifs. soixante-quinze postes vont bien être créés à Lons, Campbon, Cambrai et Vienne. Un point positif pour les salariés mobiles, notamment les plus jeunes. Mais pas pour Denis, vingt-quatre ans d'ancienneté : « Si c'est partir à 200 km, je ne postulerai pas pour un autre nouveau poste. Ma femme travaille ici, j'ai une maison à payer... Je ne sais pas quoi faire. »

« La fermeture de Candia va être une catastrophe, déplore Monique Thermeau, maire. En 2006, on avait déjà perdu 400 à 500 emplois avec les fermetures des entreprises Vetra, Pelletey, les vergers Verrechia... » Seul fleuron restant : l'entreprise Néopost (machines à affranchir). « Candia, c'est 10 % de la population active du Lude. Toute l'économie locale va être touchée », craint Louis-Jean de Nicolaÿ, conseiller général.

Ne pas baisser les bras

Les élus ne vont pas baisser les bras. Ils veulent trouver des solutions pour reclasser les salariés localement. Et pour le site, dans lequel la ville a beaucoup investi (clôture, station d'épuration...).

Vendredi, au Mans, les représentants du personnel ont rencontré le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll. « Il a été très réceptif. Il nous a redonné du courage, souligne Romain Pottier, délégué CFDT. On lui a fait part de notre demande : on voudrait garder le conditionnement du lait aromatisé et la crème, puisqu'on nous dit que c'est le lait blanc qui ne se vend plus. »

De son côté, Stéphane Le Foll a demandé « un rendez-vous à la direction de Sodiaal sur les questions stratégiques, pour voir les changements que l'on peut apporter ». Il appuie « la demande de contre-expertise faite par les salariés ».

 

 

(1) Lons, Campbon, Cambrai et Vienne.

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9 novembre 2012 5 09 /11 /novembre /2012 08:17
Source Les Echos | 09/11 | 07:00

Malmené par la flambée des matières premières et la guerre des prix sur le lait, Candia va fermer trois de ses huit usines. Le groupe veut saturer ses lignes de production afin d'être capable d'affronter une concurrence exacerbée à l'approche de la fin des quotas laitiers en 2015.

Premier producteur de lait de consommation en France, Candia s'apprête à restructurer profondément son outil industriel. La société détenue par le groupe coopératif Sodiaal (Yoplait) veut fermer trois de ses huit usines, supprimant ainsi 313 emplois sur un total de 1.465.

Les trois sites concernés fabriquent 300 millions de litres de lait par an, soit 20 % de la production de Candia. A l'avenir, ces volumes seront traités par les cinq autres usines de la société. Aucun changement, donc, pour les agriculteurs qui livrent leur lait à Candia. Les salariés touchés par la réorganisation recevront des propositions de reclassement dans les autres sites du groupe ou dans des usines partenaires. Les dirigeants se sont en outre engagés à chercher des solutions de réindustrialisation des trois sites touchés.

Le projet présenté hier matin en comité central d'entreprise (CCE) concerne les laiteries du Lude (Sarthe), de Villefranche-sur-Saône (Rhône) et de Saint-Yorre (Allier). L'usine de Lude, qui se trouve être dans le département de Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Alimentation et de la Pêche, devrait cesser son activité mi-2014. Les deux autres le feront d'ici à un an, fin 2013.

Cette réorganisation représente une charge exceptionnelle «  très importante » que le groupe refuse de chiffrer. Elle devrait être imputée sur les comptes de 2013. Le projet est assorti de la création de 70 nouveaux emplois et d'un investissement de 60 millions d'euros destinés à moderniser l'outil industriel. «  Nous avons l'ambition de redéployer la marque, d'augmenter la production et l'exportation », précise Maxime Vandoni.

Candia souffre d'un manque de compétitivité chronique, qui s'est aggravé depuis deux ans avec la guerre des prix sur le lait et la flambée des coûts des matières premières. La difficulté de répercuter, dans les tarifs à la distribution, les hausses du carburant, du carton, du plastique et du lait a lourdement affecté les comptes. Résultat, Candia a plongé dans le rouge en 2012 et bouclera son exercice sur une perte opérationnelle de 26 millions d'euros, pour un chiffre d'affaires de 1,2 milliard d'euros.

Un nouveau modèle industriel

En 2011, le résultat opérationnel s'était élevé à 10 millions d'euros. Une performance obtenue au prix d'économies drastiques sur les investissements publi-promotionnels. Mais la marque a souffert de cette baisse des investissements publicitaires en 2012.

En restructurant son outil industriel, Candia espère regagner en compétitivité et renouer avec les bénéfices en 2015. Pour y parvenir, le groupe veut saturer les lignes de production et entrer dans une logique de massification. L'entreprise a défini «  un modèle industriel europerformant », explique Maxime Vandoni, le patron de Candia. Celui-ci doit être capable d'affronter la concurrence exacerbée des pays du nord de l'Europe, à l'approche de la fin des quotas laitiers, en 2015.

A l'avenir, chaque usine Candia devra se trouver au coeur de sa zone de chalandise. Et produire 400 millions de litres de lait par an, en brique et en bouteille (désormais plus conformes au goût du consommateur).

Les cinq sites préservés ont vocation à combiner l'approvisionnement de la région dans laquelle ils se trouvent et l'exportation. Campbon (Loire-Atlantique) servira la région et l'étranger, Awoingt (Nord) la Belgique et le Royaume-Uni, Vienne (Isère) produira pour l'Italie et Lons (Pyrénées-Atlantiques) pour l'Espagne. La Talaudière (Loire) reste dédiée à la fabrication des laits infantiles, qui requièrent une technicité particulière.

MARIE-JOSÉE COUGARD, Les Echos
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9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 22:03
La Chambre syndicale de la boucherie charcuterie traiteur de la Sarthe organisait ce dimanche son 20e concours départemental des meilleures rillettes, dans le cadre de la Foire du Mans.

L'entreprise Cosme a décroché le prix d'excellence en catégorie "salaisonnier", Sébastien Hautreux (La Flèche) celui en catégorie "charcutier" et Patrice Papillon (Loué) celui en catégorie "charcutier-boucher".

Ce dernier a également été proclamé "champion des champions" 2012.

 

Source : Le Maine Libre - 16/09/2012.

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20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 17:21

Source : Agraalimentation - 20/09/2012

Si Marie profite du retrait de Maggi sur les surgelés, la marque perd des parts de marché au rayon traiteur, à l’exception des plats cuisinés. Parmi les innovations de rentrée, deux sortent du lot : des plats cuisinés destinés au 3-7 ans et des viandes en sauce à poêler.

Séduire les adultes de demain, il y a sans doute un peu de ça dans une des dernières innovations de Marie (LDC). La marque lance quatre références de plats cuisinés destinés aux enfants de 3 à 7 ans. Parmentier de poisson à la tomate ou encore jambon-purée de pommes de terre et pforme urée vertes (portions de 220 g, PVC : 2,95 euros) ont été pensés pour plaire aux enfants et rassurer les enfants. Le packaging adopte des codes enfantins et la barquette, jaune, la d’une maison. « Les 3-10 ans représentent 10 % de la population en France, et aucune offre spécifique ne leur est proposée », rappelle Christine Ball, directrice marketing de Marie.

 
Des produits semi-bruts en surgelé
Autre innovation pour la marque, la gamme « Prêt à poêler ». Marie s’aventure sur le produit semi-brut surgelé avec ces trois références de viande accommodée à remettre en œuvre à la poêle. Le consommateur n’a plus qu’à ajouter l’accompagnement. Trois références sont proposées : escalopes de volaille (poulet) crème et moutarde, émincés de poulet au thym, boulettes de bœuf tomates et parmesan (400 g, PVC : 4,95 euros). « Nous voulons faciliter la vie des consommateurs tout en lui laissant de la liberté », précise Christine Ball.
 
Surgelés : Marie profite du retrait de Maggi
Si le marché des plats élaborés surgelés se valorise (+ 1,6 % à 947 M EUR, source Iri CAM à P9 2012 – HM SM), il a régressé en volume (- 1,6 % à 160 200 t), du fait notamment du recul des promotions. « Nous sommes le premier contributeur à la croissance en valeur, avec 38 % de contribution », se félicite Christine Ball. De fait, en surgelés (marché touché par le retrait de Maggi), la marque a consolidé son leadership sur les sachets familiaux (33,2 % de part de marché, + 4,4 points) et progressé sur les poissons en sauce (19,3 % de part de marché, + 3 points) et, dans une moindre mesure, sur les apéritifs (7,3 % de part de marché, + 1,9 point). Elle recule en revanche sur les quiches, tourtes et tartes (31,4 % de part de marché, - 3,7 points), dont elle reste toutefois leader.
 
Au traiteur, seuls les plats cuisinés progressent en part de marché
Sur le rayon traiteur frais, (+4,6 % en valeur à 3,5 Mds EUR, + 2,8 % en volume à 500 000 t), Marie se porte bien sur les plats cuisinés individuels en barquette (12,6 % de part de marché, +0,9 points) mais perd des parts de marché sur les tartes (12,3 %, - 1,1 point) et les pâtes à dérouler (5,7 %, - 0,7 point). Sur les plats cuisinés, la gamme Juste Cuisson est un succès. Elle contribue à la croissance du marché à hauteur de 27 % depuis son lancement.
D’ici à 2015, Marie vise 200 M EUR de chiffre d’affaires, contre 170 M EUR sur le dernier exercice (avec les marques Traditions d’Asie et Weight Watchers notamment). Sur 42 000 t de produits commercialisés par Marie SAS, 35 000 le sont sous les marques de l’entreprise.



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20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 17:11

Source : Les Marchés - 20/09/2012

Un arrêté du 10 septembre paru au JO du jour porte homologation des cahiers des charges de Label Rouge pour le « poulet blanc nu fermier élevé en liberté » et le « poulet jaune fermier de 100 jours élevé en liberté » au bénéfice de l’organisme de défense et de gestion Syndicat des volailles fermières de Loué.

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